Plus d'une année sans écrire sur ce blog... Alors que la plupart des français ont eu du temps et l'opportunité d'exprimer leurs talents grâce à ces périodes de confinement. 

J'aurais aimé... mais, mes les soucis liés à ma cataracte (opérée en février 2019) sont revenus par une cataracte secondaire. J'étais à nouveau redescendue à 3/10 corrigé pour mon oeil droit et là, beaucoup de fatigue engendrée par l'accomodation constante que mon cerveau devait réaliser entre un oeil à 10/10 et l'autre à 3/10. Faticgue qui est l'une des causes de nombreuses chutes...

C'est fin juillet que j'ai subi des séances de laser qui ont permis de "nettoyer" la capsule qui entoure mon cristallin de Robocop !!! Mais toujours pas possible de me remettre au travail manuel, car luxation du coude et ensuite coupure d'un doigt qui a nécessité intervention... Ce n'est que fin août que j'ai enfin pu compenser mes bobos. 

J'ai donc repris la lecture, ce qui me manquait aussi beaucoup de fait. 

Maintenant, je suis à jour de pleins de petites choses chronophages du quotidien donc, je vais enfin pouvoir m'y remettre... même si j'ai un peu peur de tester mon oeil.

Au détour des liens... j'ai découvert cet ouvrage.

Ma curiosité habituelle m'a fait découvrir l'auteur de cet ouvrage, Thèrèse de Dillmont

Les cadres noirs, fleuron de la collection Thérèse de Dillmont, regroupent des échantillons achetés ou reçus en don de provenances diverses. Ils ont été mis sous cadre pour les préserver vers 1930.

Images d'une expo DMC au Japon

Pour ceux que cela pourrait intéresser, on trouve son ouvrage le plus connu sur bnf-gallica et 54 autres références
Encyclopédie des ouvrages de Dames 

Il est également possible de télécharger une partie de ses ouvrages à partir de Openlibrary

Après l'intervention de la cataracte, ce n'est qu'en avril-mail 2019, que j'ai pu reprendre les aiguilles. Avant de subir une nouvelle altération de mon état en lien avec le SSPT (Syndrome de Stress Post Traumatique). 

J'ai décidé de me relancer dans un des deux travaux que m'avait offert Mathieu que j'ai eu la chance d'héberger quelques semaines alors qu'il venait d'être accepté en Licence à Béthune, loin de son Loiret.

En effet, après la joie d'avoir terminé "La vache qui rit", j'avais embrayé sur "Vie de Chat", mais ... toile de lin, peu de nuance pour les couleurs et troubles de la vue que je ne comprenais, associé à mes troubles de la concentration. Je brodais une demi heure et je démontais pendant 1h30... qu'il est pénible et long de démonter un ouvrage. 

J'ai donc dû abandonner tant que je m'énervais sur ce travail. 

Reprise au printemps 2019, avec un cristalin tout neuf !!

Comme le support était toujours du lin, il m'a fallu pour une fois vraiment préparer ma toile en realisant des lignes de 10 / 10 pour me repérer plus aisément dans la grille et sur la toile.  J'ai également dû agrandir les différents motifs afin de mieux les voir. Parfois, je me demande pourquoi les concepteurs de grilles utilisent des symboles si proches... Parfois un peu de couleur ne serait pas superflu...

Avril 2019

Juillet 2019

Septembre 2019

Epuisée par la toile de la lin, j'ai recommencé le tout sur une toile Aïda. 

Avril 2020

Avant de reprendre...

Le premier ouvrage que j'ai repris est donc "La vache qui rit" que j'ai terminé assez vite. C'est à l'été 2015, que j'ai entamé ce travail. La joie de m'y remettre a fait que je me suis lancée dans une broderie intensive qui s'est vite traduite par une épicondylite qui m'a obligée au repos... Puis ce fut la période de purgatoire de 18 mois en EHPAD. 

J'en étais là quand la douleur du coude est réapparue.

Terminée en mars 2018, avant l'apparition de la cataracte, après mes premiers six mois d'arrêt maladie, je commencais à pouvoir de nouveau lire, bricoler etc...

Mon dernier poste de travail m'a amené à déclaré un Syndrome de Stress Post Traumatique qui a s'est traduit dans les faits par un "burn out". Le suicide du seul collègue avec qui je pouvais échanger puisqu'il était aussi engagé, bosseur, créatif m'a beaucoup touché et affecté... et dans les fait le harceleur de l'établissement n'avait donc plus comme cible... Il m'a détruite en 6 mois. Le retour de séquelle de mon AVC (1998), un manque du mot, m'a beaucoup angoissé, à réveillé les angoisses de mort que j'avais eu à affronter à l'époque etc... En juin 2017, je ne pouvais plus refuser l'arrêt maladie que me proposait mon médecin depuis plusieurs mois. Je ne regrette pas l'expérience que j'ai vécu à l'EHPAD où j'ai participé à la renaissance d'une structure d'accueil face à un encadrement qui permettait enfin au soignant une amélioration du travail, un respect, un cadre éthique et une "magique" amélioration de la qualité des soins apportés. D'ailleurs cette amélioration m'a été beaucoup reprochée par ma hiérarchie car l'absence de décès, générait une perte financière des services de SSR et de CSG pour qui il était devenu impossible d'orienter leurs patients chroniques chez nous... Eh oui la souffrance éthique n'est pas une invention de l'esprit... Je pourrais vous en écrire des centaines de pages sur ces 18 mois qui ont détruit ma vie de soignante et aussi ma vie personnelle sur bien des points...
Je me reconstruis très doucement...

Pendant plusieurs mois, j'ai été incapable de faire quoi que ce soit car incapable de me concenter. Même lire était devenu difficile. 

Donc après ces horribles épicondylites dont j'avais évoquées le souci, je me suis cassée, enfin mon travail de coordonnateur des soins en EHPAD m'a cassé. 

En plus, comme je suis plutot une spécialiste de la somatisation, j'ai bizarrement constaté que je perdais mon acuité visuelle de l'oeil droit et donc de plus en plus difficile de lire, impossible de broder etc... Après plusieurs examens, mon ophtalmologue a fini par penser que je souffrais d'une cataracte précoce d'un seul oeil. Pour info ma vue corrigée était descendue à 3/10 et mon oeil gauche était toujours à 10/10 corrigé. J'étais donc assez épuisée par ce phénomène. 

A moins de 50 ans, en février 2019, j'ai donc subi une opération de la cataracte. J'ai été assez angoissée par cette intervention. Mais avec le recul je conseille à tous ceux qui pourraient être concernés de le faire sans crainte (à condition de vérifier la qualité des soins de l'établissement qui vous accueille. Perso, dans ma région, il y en un que je déconseille fortement étant donné le nombre de personnes qui finissent par souffrir de complication à l'issue de l'intervention. 

Chez moi, tout s'est bien passé (hormis le souvenir de mon ulcération cornéenne au même oeil qui remonte à Noel 1991 et qui m'a bien "pourri" la vie). Après un mois, j'avais récupéré 10/10 corrigé aux deux yeux...

J'ai donc doucement repris la broderie... je pense que je ne pourrais plus trop broder sur lin (mais en fait j'ai toujours trouvé difficile le travail sur le lin). 

En cette période de confinement, il faut bien s'occuper, faire avant tout preuve de solidarité et de responsabilité altruiste (je sais cela doit être très difficile pour les personnalités égocentriques...) et nous pouvons aussi développer nos aptitudes de créativité. 

En tant que professionnel de santé et d'ingénieur en management de la santé, je suis (un peu) au fait des règles sanitaires et d'hygiène. 

Je suis très heureuse que des gestes qui sont pour nous naturels comme le lavage des mains, tousser dans nos coudes, veiller à bien jeter nos mouchoirs usagés dans une poubelle, désinfecter les surfaces... sont proposés à la population... Ce sont tout de même des gestes de base, mais bon... Enfin j'avoue être aussi assez satisfaite à l'idée que les "embrassades" du quotidien puissent enfin tomber en désuétude (j'ai toujours été exaspérée par cette pratique que je trouve particulièrement intrusive).

Donc pour m'occuper, car franchement je doute de l'utilité des masques alternatifs, enfin je crains surtout que leur utilisation autorise ceux qui les portent à un, encore, plus grand, non respect des règles de confinement et des gestes barrières comme celui de se laver les mains (correctement) et si possible avec du savon et de l'eau. Personnellement, j'ajoute le lavage du visage dès que je rentre chez moi. Oui, je suis un peu maniaque, mais ce ne sont que les gestes que je fais toujours (covid ou pas) quand je sors du métro, des transports en commun aux heures de pointes.

Je rappelle donc que le port d'un masque quelqu'il soit ne vous exonore pas de respecter : 

• le confinement
• le lavage des mains et visage
• de tousser, éternuer dans votre coude ou dans un mouchoir jetable
• de mettre systématiquement vos mouchoirs usagés dans une poubelle ou dans un sac "Zyploc" que vous placer dans l'une de vos poches ou sacs (oui on ne trouve pas de poubelle partout)
• de conserver une distance d'éloignement social
• de remplir une attestation dérogatoire (donc de réfléchir en la rédigeant sur la nécessité vitale de votre sortie).

Un masque alternatif n'est qu'une protection limitée, qui a pour but de limiter votre angoisse et celle des personnes que vous serez amenées à croiser. 

Je suis farouchement opposée au port des gants pour les raisons que cela lève de la vigilance et aussi pour le fait que la plupart des personnes sont incapables de la retirer correctement et donc se contaminent de fait à ce moment là. 

Arrêtons le gaspillage... 

Pour en revenir à l'objet de ce post, j'ai donc réalisé des masques alternatifs après avoir comme d'habitude réalisée une observation de plusieurs articles sur le sujet. Celui que j'ai trouvé, à ce sujet, le plus crédible est celui de Bérangère (ingénieur textile) qui fait une présentation très didactique de sa démarche et nous partage gentiment ces connaissances et compétences sur le sujet. 

 Vous retrouverez son post sur cette page "La place des masques en tissus dans la prévention du Covid-19". 

Le blog de Bérangère : "Couture et Paillettes"

Pour accentuer la légitimité de Bérangère, elle a publié un nouvel article pédagogique au sujet de la publication de l'AFNOR à ce sujet : "La Place des masques en tissus : le guide SPEC AFNOR". 

J'ai d'abord réalisé un premier masque en tissu s'inspirant de sa démarche. J'avais du tissu à la maison que j'avais acheté il y a longtemps alors que j'étais encore orthophoniste dans l'espoir qu'un jour j'aurais le temps de créer des couches culottes pour les poupées de mon bureau... Le temps a passé... J'ai même changé de métier depuis. 

Profitant de la sortie de ma super machine à coudre, afin de réparer un des rideaux de la maison, je me suis lancée, lundi dernier. 

Le matériel :  Pour comprendre les différents coton "La petit mercerie" et "L'étoile de coton". 

- le piqué de coton : tissu de coton avec de très fines rainures dans le tissage. Convient pour le linge de lit ou d’ameublement. 

- la popeline de coton : c’est un coton au tissage très serré, de belle qualité, qui peut parfois donner l’impression d’une certaine brillance, comme satiné. Facile à coudre, supporte bien les transferts tissus du fait de son maillage serré, facile d’entretien…

J'ai donc repris le modèle de Bérangère qui a pour intérêt de pouvoir y glisser une troisième épaisseur. Elle l'a adapté à partir de la fiche diffusée par le CHU de Grenoble. 

 Les étapes de mon travail : 

Découpage du patron, découpage du coton piqué et de la popeline car par souci d'un travail fini, j'ai voulu doublé l'intérieur du masque.

Pour ce premier masque, j'ai choisi de coudre chaque pièce de coton piqué avec sa doublure en popeline, après les avoir soigneusement repassées puis j'ai monté l'ensemble. 

Le masque (type 1) terminé

L'ouverture permet, comme l'explique très bien Bérangère sur son blog d'insérer une troisième épaisseur (bon pour le mien cela ferait une ciquième épaisseur). Cette épaisseur supplémentaire serait une lingette type lingette dépoussierante qui a l'opportunité de partager une qualité d'une des épaisseurs des masques chirurgicaux. 

Comme toujours, j'ai ma surveillante des opérations, Dyouna

Peu satisfaite de la finition de ce masque (Type 1), j'ai tenté une deuxième réalisation. En prenant cette fois des dimensions un peu plus grandes, découpage plus 1cm de tour des patrons papier. Enfin pour éviter de voir les coutures intérieures. J'ai monté les deux types de pièces d'un coté le piqué de coton et de l'autre la popeline. Je les ai ensuite assemblées. Ce qui donne un effet plus propre de l'objet terminé. 

Le masque (Type 2) est légèrement plus grand, ce qui est un avantage. 

Le Type 1 porté. 

CRITIQUES : 

Hier, j'ai donc porté ce masque pour aller chez le traiteur à 100 mètres de chez moi. J'avoue que le port de ce masque me mettait assez mal à l'aise (mais cela disons c'est une composante personnelle). Toutefois, comme je porte des lunettes, j'ai l'inconvénient de la buée, ce qui ne facilite pas. Et comme je ne suis pas allée au bout du tuto de Bérangère avec l'insertion d'un dispositif "pince nez", oui, j'ai oublié. 
J'ai trouvé le port de masque assez désagréable et suscitait quelque peu chez moi un stress voire un stress anxiogène. J'ai fini par l'ôter car j'avais la sensation d'avoir le souffle coupé... Il est vrai que 4 épaisseurs sont peut être trop...

De fait, ce jour, je me lance dans une autre expérimentation que je vous partagerai plus tard. 

RAPPELS : 

Dans certaines cultures amérindiennes, un capteur de rêves ou attrape-rêves (en anglais : dreamcatcher) est un objet artisanal d'origine ojibwé (appelé asubakatchinou bawajige nagwaagan dans cette langue) composé d'un cerceau, généralement en saule, et d'un réseau de fils en forme de filet (les filets de deux des capteurs illustrés ici sont « phyllotaxiques [archive] »). Les décorations qui le composent sont différentes pour chaque capteur de rêves. Selon la croyance populaire, le capteur de rêve empêche les mauvais rêves d'envahir le sommeil de son détenteur. Agissant comme un filtre, il capte les songes envoyés par les esprits, conserve les belles images de la nuit et brûle les mauvaises visions aux premières lueurs du jour.

Dans la culture amérindienne, les capteurs de rêves sont accrochés du côté où le soleil se lève, afin que la lumière du jour puisse détruire les mauvais rêves qui se sont installés dans les perles et les fils de la toile.

De nombreuses légendes, issues de différentes tribus expliquent l'origine et le fonctionnement du capteur de rêves. Elles ont souvent de nombreux points communs entre elles : le capteur de rêves a été transmis aux Hommes lors d'un rêve, l'araignée, sous forme animale ou de divinité intervient souvent, l'enseignement du dreamcatcher est transmis en retour de la protection d'une araignée,...

On retrouve désormais le capteur de rêves dans l'artisanat de la plupart des cultures nord-amérindiennes.

Selon la culture huronne, les humains font tous partie du Grand Esprit, créateur de la nature et des hommes. Celui-ci nous suggère des rêves afin que nous puissions mieux nous comprendre. Le rêve est le véhicule qui permet l'échange entre l'Homme et le Grand Esprit. Toujours selon cette culture, le rêve est l'expression des besoins de l'âme. Il est aussi primordial de satisfaire les besoins de l'âme que ceux du corps. Le rêve permet de se libérer. Il assure l'équilibre. Si on écoutait la démarche que les rêves nous proposent, on comprendrait beaucoup mieux les besoins de l'âme.

Le capteur de rêves est utilisé pour aider à contrôler les rêves, dans la mesure où l'on peut contrôler ses pensées, sa vie. À l'origine, il était destiné aux enfants qui faisaient de mauvais rêves. Il s'agit d'un petit cerceau fait d'une branche d'arbre. Dans ce cerceau, est tissé un filet de la forme d'une toile d'araignée comportant un trou au centre. Pendant la nuit, les mauvais rêves resteront pris dans le filet, pour être brûlés par les premières lueurs du jour. Les beaux rêves passeront à travers le trou du centre pour être conservés dans les plumes installées autour du cerceau.

Légende huronne du capteur de rêves

Il y a bien longtemps, lorsque le monde était encore jeune, dans un village autochtone, un Amérindien dormait avec ses frères et ses sœurs dans leur maison longue.

Un jour, l’homme partit à la chasse pour aller chercher le repas pour les prochaines lunes. Il partit loin, afin de trouver un orignal s’abreuvant d'eau de source pure coulant de la montagne. Il traversa rivières et fleuves avec courage et détermination, sans apercevoir de chevreuils, ni d’orignaux dans les environs. Il décida alors de partir vers une montagne, songeant que le repas allait bientôt être servi. En chemin, il aperçut une grotte immense dans laquelle pouvait se trouver n’importe quelle bête. Il y entra en y projetant tous ses espoirs.

Dans la grotte, l’orignal était absent. A la place un esprit malveillant s'y trouvait. L’homme se sentit mal, certain d'une sombre présence dans ces profondeurs. C’est alors qu’une bête surgit. Des yeux couleur de sang, un poil noir comme la nuit, un museau retroussé et des crocs prêts à mordre la chair. L’homme sursauta et s'enfuit, paniqué, abandonnant son arc derrière lui, avec une minuscule lueur d’espoir de rester en vie.

De retour au village, l’homme avait les bras vides. Pas de nourriture, ni d’armes pour chasser d’autres bêtes. Et il était terrorisé à l’idée de retourner à la chasse.

Le soir-même, il n’arriva pas à trouver le sommeil. Dès qu’il s’endormait, il voyait encore ces deux yeux couleur de sang le fixer et la bête au poil noir prête à le dévorer. Le soir suivant, il essaya à nouveau de dormir, mais sans résultat. Nuit après nuit, lunes après lunes, l’homme ne pouvait plus dormir sereinement. L’esprit de la bête aux yeux de sang le hantait. Plusieurs soleils passaient et rien ne changeait.

Une nuit, l’homme se leva après un cauchemar. Il sortit du village et partit vers la forêt. Mais, exténué, il s’endormit sur le sol couvert de branchages.

Le lendemain à l’aube, l'homme se réveilla impressionné : il n’avait fait aucun cauchemar. Il leva les yeux et aperçut une toile d’araignée où perlait la rosée du matin.

L'homme s’endormit toujours près de la toile qui, au matin, s'illuminait des rayons du soleil.

Puis, il raconta cette histoire à son peuple, qui adopta cette technique.

Source : WIKIPEDIA 

Depuis longtemps, j'avais l'envie de réaliser un attrape-rêves, mais j'ai parfois tendance à avancer lentement...  par manque de temps... parce que j'ai souvent tellement d'idées....

J'ai donc commencé le travail.

J'ai biensûr réalisé le napperon au crochet. Je voulais un modèle aéré.

J'ai recouvert le cercle métallique de croquet. 

J'ai cousu le napperon sur le croquet. 

Dyouna de la Fressange, mon égérie vous présente le résultat....

Je l'utilise pour l'arthose, l'épicondylite.

Avec sa texture huileuse, elle est idéale pour réaliser des massages régénérant (rincer la peau après chaque utilisation) soulageant les douleurs musculaires.

Composition

100% Maris aqua. 

Flacon va et vient de 200 ml.

Historique

Située entre l’Israël, la Cisjordanie et la Jordanie, la mer Morte se situe à 412 mètres sous le niveau de la mer, ce qui fait d’elle le point le plus bas de notre planète.

L'eau de la mer Morte contient plus de 25% de sel alors que les autres mers du globe en contiennent environ 5%, c'est ce qui fait que les eaux de la Mer Morte n'abritent aucune vie animale ni végétale.

Mais les sels minéraux qu'elle contient sont une source extraordinaire de bienfaits pour la peau et l'organisme. Chaque litre d'eau de la Mer morte contient environ 30% de sel et de minéraux avec 30 fois plus de magnésium que dans la mer Méditerranée.

Il y a trois millions d'années, la vallée de la rivière de Jordanie était régulièrement inondée par les eaux de la Mer Rouge. Les eaux formées par les inondations se sont accumulées dans une baie étroite reliée à la mer. A chaque inondation, des dépôts de sel se sont formés : il semblerait que ce soit avec les allées et venues de ces inondations salées que s'est créée peu à peu la Mer Morte.

Utilisation

Très concentrée, l'eau minérale de la mer Morte est en général à utiliser diluée. Une fois votre peau imprégnée, il convient de la rincer.

Directement sur la peau, avant d'entrer sous la douche ou le bain, frictionnez votre peau avec l'eau pendant 2 à 3 minutes puis rincez-vous à l’eau tiède. Evitez le contact avec vos yeux et les parties sensibles du corps.

Pour les cheveux, l'eau concentrée peut être mélangée avec du shampooing pour traiter et soulager les démangeaisons du cuir chevelu. Quelques gouttes avec du shampooing suffisent.

Appliquer, masser et laisser agir 2 à 3 minutes permet un résultat optimal. Il est important de bien rincer et de faire un second shampooing afin d'éliminer tous les restes de sel des cheveux.

Elle s’utilise aussi avec un gant loofah afin d’exfolier et reminéraliser le corps. Enfin, vous pouvez mélanger 200ml d’eau de la mer Morte à l’eau du bain pour un relâchement complet.

Composition

100% Maris limus.

Pot de 1 kg.

Description

A appliquer en masque, la boue de la mer Morte est un produit naturel provenant d’un lac d’eau salée unique au monde, offrant des bienfaits exceptionnels.

Les sédiments de ce lac forment une boue noire revitalisante qui est utilisée pour les cures et les soins de la peau depuis l’antiquité.

Particulièrement recommandée pour les soins du visage et du cou, votre peau n’en sera que plus lisse, régénérée et adoucie.

Les cheveux aussi peuvent profiter de ce soin qui enlèvera toutes les impuretés causées par les agressions extérieures.

Utilisation

Pour les douleurs musculaires, Najel vous conseille de faire un cataplasme avec la boue sur la ou les parties douloureuses.

Laissez poser 20 minutes et rincez abondamment à l’eau claire.

Petite info

N’abritant aucune trace de vie sous-marine, la mer Morte est dix fois plus salée que la moyenne et se situe sur le point le plus bas du globe.
Ses nombreuses vertus sont connues depuis des siècles et font des soins issus de la mer Morte des produits convoités

Le sel de la mer Morte Najel est un exfoliant naturel réputé et efficace. Il purifie et revitalise la peau en profondeur pour une peau nette et un teint éclatant.
Le temps et l’expérience lui attribuent de nombreuses vertus : 
Il permet d’exfolier les cellules mortes, nettoyer les pores de la peau des impuretés, stimuler et tonifier votre corps.

A forte concentration, il est reconnu pour avoir une action sur certains problèmes de peau. Grâce à sa teneur en magnésium et brome (sédatif naturel qui permet de lutter contre les états anxieux), le sel de la mer Morte va apaiser votre peau et contribuer à votre bien-être. 
Effet relaxant immédiat garanti.

Composition

100% Mar

is Sal. 

Pot de 180g.

Historique

La mer Morte est un point d’eau unique sur notre planète:

Très riche en sel (environ 10 fois plus que la moyenne) et en minéraux, elle est située sur le point le plus bas du globe et n’abrite aucune vie sous-marine.

Utilisation

Dilué dans un bain chaud, il nettoie les pores de la peau éliminant ainsi toxines et cellules mortes.

Il est reconnu pour atténuer les douleurs musculaires et les rhumatismes.

A forte concentration, il vous aidera à lutter contre certains problèmes de peau tels que l’eczéma et le psoriasis.

J'ai donc repris l'aiguille pour préparer un cadeau de naissance... le bébé à déjà deux mois... il faudrait que je me bouge... Mais vilaine épicondylite est revenue.... Donc je suis passée par la phase bricolage avant de reprendre....

Pour écrire Louis, j'ai repris l'un des jolis fils utilisés pour Mary Wigham

Les chaussons, le modèle provient de "Mon atelier au fil des saisons à broder au point de croix" de Valérie ENGEINGER

Le cache carnet de santé, je me le suis procuré chez Cultura, c'est un DMC. Je n'avais pas vraiment noté à l'achat que le tissu blanc est celui des langes que nous portions bébé.... avant l'invention du Pampers.... (oui je suis très vieille). 

Outre l'épicondylite, il se pose le souci de la presbytie.... il a donc fallu également que je refasse faire une paire de lunettes de près.... j'entends déjà les rires de quelques lecteurs .... oui je suis vieille...

Ce cadeau est destiné au bébé d'une dame que j'apprécie beaucoup beaucoup et qui j'espère gardera toujours sa fraicheur et son franc parler....